Plus que l’abandon, sans doute est-ce la notion de rupture qui me laisse démunie. Subie, provoquée peu importe, le goût reste le même. Celui d’une fracture comme l’os craque quand l’effort brusque a dépassé le seuil de résistance et crée une discontinuité....

Ne jamais se relire ? Ne jamais écrire ? Nobody's perfect...but... Accepte-t-on si facilement d’être faillible ? d’être fragile au point de mordre celui désigné comme l’offenseur ? Non. Pas de fierté retrouvée dan cet acte vain. Tout à perdre à s'abaisser...

Voila, un jour, on voudrait que tout se fige pour un temps parce que tout respire l'apaisement, la lumière, le temps, l'amour, le visage de l'enfant mangeant des fraises sucrées. Même ce qui n'est pas beau dans cette période-vortex entre en résonance...